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Julia LEZHNEVA
Soprano
Il n’est plus besoin de présenter Julia Lezhneva, l’une des artistes les plus en vue de sa génération. Si ses facilités techniques laissent littéralement pantois, la lumière radieuse du timbre et la pureté de la ligne de chant ne sont pas moins uniques, faisant d’elle un véritable soleil à chacune de ses apparitions.
Né sur l’île de Sakhalin en Russie, cette enfant prodige commence le piano et le chant à l’âge de cinq ans, décroche ses diplômes au Conservatoire Gretchaninov et poursuit ses études au Conservatoire de Moscou. Elle se perfectionne auprès de chanteurs tels que Dennis O’Neill à Cardiff ou Yvonne Kenny à la Guildhall School de Londres.
En 2009, elle remporte le Premier prix au Concours Mirjam Helin d’Helsinki et, en 2010, du Concours d’Opéra de Paris.
À l’âge de dix-sept ans, elle attire déjà l’attention du milieu musical en gagnant le Concours Elena Obratztsova en 2007 puis, la saison suivante, en partageant la scène avec Juan Diego Flórez lors de l’ouverture du Festival Rossini de Pesaro. Ses apparitions européennes commencent tout de suite après cet événement : Marc Minkowski l’invite à chanter et enregistrer pour Naïve la Messe en si mineur de Bach dès 2008. Par la suite, avec le chef français, elle donne de nombreux récitals, opéras et oratorios, et grave un disque d’airs de Rossini (Naïve).
L’année 2010 est décisive. Elle fait des débuts triomphaux au Barbican de Londres dans Ottone in Villa de Vivaldi avec Giovanni Antonini et donne des récitals solo avec Marc Minkowski au Festival de Salzbourg. Surtout, elle crée la sensation au Classical Brit Awards au Royal Albert Hall de Londres, chantant à l’invitation de Dame Kiri Te Kanawa l’air Fra il padre de Rossini avec une aisance qui sidère son auditoire.
Depuis ces événements, Julia Lezhneva a chanté aux quatre coins de la planète – Royal Opera House Covent Garden, Royal Albert Hall et Barbican Hall de Londres, Lincoln Center à New York, NHK et Bunka Kaikan à Tokyo, Concertgebouw d’Amsterdam, Auditorio Nacional de Madrid, Théâtre des Champs-Élysées à Paris, Konzerthaus et Theater an der Wien à Vienne, Staatsoper de Berlin, Laeiszhalle de Hambourg, Théâtre de La Monnaie et Bozar à Bruxelles, Théâtre du Bolshoï et Grande Salle du Conservatoire à Moscou, Philharmonie de Saint-Pétersbourg… Citons aussi les Festivals de Salzbourg (un véritable port d’attache pour elle), Baden Baden, Gstaad, Verbier, Halle ou les Chorégies d’Orange.
Elle a collaboré avec des chefs tels que Marc Minkowski, Giovanni Antonini, Sir Antonio Pappano, Herbert Blomstedt, Alberto Zedda, Philippe Herreweghe, Franz Welser-Möst, Sir Roger Norrington, René Jacobs, Fabio Biondi, Jean-Christophe Spinosi, Diego Fasolis, Ottavio Dantone, Teodor Currentzis, montant sur scène aux côtés de Plácido Domingo, Anna Netrebko, Dame Kiri Te Kanawa, Joyce DiDonato, Juan Diego Flórez, Rolando Villazón, Franco Fagioli, Max Emmanuel Cencic ou Philippe Jaroussky.
Son chant s’épanouit dans un vaste répertoire. Son cœur penche certes vers le répertoire baroque : Bach bien sûr, Vivaldi bien sûr, Händel surtout (Morgana dans Alcina, Almirena dans Rinaldo, Asteria dans Tamerlano, Rossane dans Alessandro, La Bellezza dans Il Trionfo del Tempo e del Disinganno, etc) mais aussi des compositeurs qu’elle contribue à faire redécouvrir – Hasse (Laodice dans Siroe aux côtés de Max Emanuel Cencic), Porpora (Ersinda dans Germanico in Germania de nouveau avec Max Emanuel Cencic) ou Graun (elle signe un disque d’airs d’opéras de ce compositeur avec Concerto Köln). Citons aussi Pergolesi qu’elle aime particulièrement, chantant son Stabat Mater aux côtés de Franco Fagioli ou Philippe Jaroussky (avec ce dernier, elle enregistre la partition pour Virgin Classics). Mozart ne la quitte pas, musique religieuse ou opéras – Zerlina dans Don Giovanni (Covent Garden puis Liceu de Barcelone) ou Fiordiligi dans Così fan tutte (Wiesbaden). Sa technique vocale si impressionnante lui permet d’aborder les vocalises redoutables du belcanto romantique italien, au premier chef Rossini, qui l’accompagne depuis ses débuts.
Pour la saison en cours, outre de nombreux récitals à Londres, Moscou ou Versailles, mentionnons deux opéras de Händel – Agrippina (rôle de Poppea) à l’Opéra de Hambourg et Oreste (Ermione) à Vienne, Moscou et Paris –, Orlando furioso (Angelica) de Vivaldi au Teatro Real de Madrid.
La saison à venir sera aussi riche et d’abord mozartienne : à l’Opéra de Hambourg, elle chantera le rôle de Zerlina dans Don Giovanni ; au Staatstheater de Wiesbaden, elle sera Despina dans Così fan tutte. Elle sera aussi Piacera dans Il Trionfo del Tempo à la Philharmonie de Paris et au Tchaikovsky Concert Hall sous la baguette de Thibault Noally et de ses Accents.
Julia Lezhneva est une artiste exclusive de Decca depuis 2011. Son premier disque – Alleluia, avec des motets baroques et en compagnie du Giardino Armonico dirigé par Giovanni Antonini – est publié en mars 2013 et remporte une récompense aux Echo-Klassik. Suivent les albums Händel (pièces sacrées et profanes illustrant l’ascension irrésistible du compositeur lors de ses années italiennes) et Graun Arias (constitué de premières mondiales avec des airs d’opéra (exhumés par Julia à la Staatsbibliothek de Berlin). Sa collaboration avec Max Emanuel Cencic dans Alessandro de Händel obtient le Prix de l’intégrale d’opéra de l’année au International Opera Award en 2013. Elle rejoint de nouveau Cencic pour l’enregistrement en première mondiale de Siroe de Hasse.
Né sur l’île de Sakhalin en Russie, cette enfant prodige commence le piano et le chant à l’âge de cinq ans, décroche ses diplômes au Conservatoire Gretchaninov et poursuit ses études au Conservatoire de Moscou. Elle se perfectionne auprès de chanteurs tels que Dennis O’Neill à Cardiff ou Yvonne Kenny à la Guildhall School de Londres.
En 2009, elle remporte le Premier prix au Concours Mirjam Helin d’Helsinki et, en 2010, du Concours d’Opéra de Paris.
À l’âge de dix-sept ans, elle attire déjà l’attention du milieu musical en gagnant le Concours Elena Obratztsova en 2007 puis, la saison suivante, en partageant la scène avec Juan Diego Flórez lors de l’ouverture du Festival Rossini de Pesaro. Ses apparitions européennes commencent tout de suite après cet événement : Marc Minkowski l’invite à chanter et enregistrer pour Naïve la Messe en si mineur de Bach dès 2008. Par la suite, avec le chef français, elle donne de nombreux récitals, opéras et oratorios, et grave un disque d’airs de Rossini (Naïve).
L’année 2010 est décisive. Elle fait des débuts triomphaux au Barbican de Londres dans Ottone in Villa de Vivaldi avec Giovanni Antonini et donne des récitals solo avec Marc Minkowski au Festival de Salzbourg. Surtout, elle crée la sensation au Classical Brit Awards au Royal Albert Hall de Londres, chantant à l’invitation de Dame Kiri Te Kanawa l’air Fra il padre de Rossini avec une aisance qui sidère son auditoire.
Depuis ces événements, Julia Lezhneva a chanté aux quatre coins de la planète – Royal Opera House Covent Garden, Royal Albert Hall et Barbican Hall de Londres, Lincoln Center à New York, NHK et Bunka Kaikan à Tokyo, Concertgebouw d’Amsterdam, Auditorio Nacional de Madrid, Théâtre des Champs-Élysées à Paris, Konzerthaus et Theater an der Wien à Vienne, Staatsoper de Berlin, Laeiszhalle de Hambourg, Théâtre de La Monnaie et Bozar à Bruxelles, Théâtre du Bolshoï et Grande Salle du Conservatoire à Moscou, Philharmonie de Saint-Pétersbourg… Citons aussi les Festivals de Salzbourg (un véritable port d’attache pour elle), Baden Baden, Gstaad, Verbier, Halle ou les Chorégies d’Orange.
Elle a collaboré avec des chefs tels que Marc Minkowski, Giovanni Antonini, Sir Antonio Pappano, Herbert Blomstedt, Alberto Zedda, Philippe Herreweghe, Franz Welser-Möst, Sir Roger Norrington, René Jacobs, Fabio Biondi, Jean-Christophe Spinosi, Diego Fasolis, Ottavio Dantone, Teodor Currentzis, montant sur scène aux côtés de Plácido Domingo, Anna Netrebko, Dame Kiri Te Kanawa, Joyce DiDonato, Juan Diego Flórez, Rolando Villazón, Franco Fagioli, Max Emmanuel Cencic ou Philippe Jaroussky.
Son chant s’épanouit dans un vaste répertoire. Son cœur penche certes vers le répertoire baroque : Bach bien sûr, Vivaldi bien sûr, Händel surtout (Morgana dans Alcina, Almirena dans Rinaldo, Asteria dans Tamerlano, Rossane dans Alessandro, La Bellezza dans Il Trionfo del Tempo e del Disinganno, etc) mais aussi des compositeurs qu’elle contribue à faire redécouvrir – Hasse (Laodice dans Siroe aux côtés de Max Emanuel Cencic), Porpora (Ersinda dans Germanico in Germania de nouveau avec Max Emanuel Cencic) ou Graun (elle signe un disque d’airs d’opéras de ce compositeur avec Concerto Köln). Citons aussi Pergolesi qu’elle aime particulièrement, chantant son Stabat Mater aux côtés de Franco Fagioli ou Philippe Jaroussky (avec ce dernier, elle enregistre la partition pour Virgin Classics). Mozart ne la quitte pas, musique religieuse ou opéras – Zerlina dans Don Giovanni (Covent Garden puis Liceu de Barcelone) ou Fiordiligi dans Così fan tutte (Wiesbaden). Sa technique vocale si impressionnante lui permet d’aborder les vocalises redoutables du belcanto romantique italien, au premier chef Rossini, qui l’accompagne depuis ses débuts.
Pour la saison en cours, outre de nombreux récitals à Londres, Moscou ou Versailles, mentionnons deux opéras de Händel – Agrippina (rôle de Poppea) à l’Opéra de Hambourg et Oreste (Ermione) à Vienne, Moscou et Paris –, Orlando furioso (Angelica) de Vivaldi au Teatro Real de Madrid.
La saison à venir sera aussi riche et d’abord mozartienne : à l’Opéra de Hambourg, elle chantera le rôle de Zerlina dans Don Giovanni ; au Staatstheater de Wiesbaden, elle sera Despina dans Così fan tutte. Elle sera aussi Piacera dans Il Trionfo del Tempo à la Philharmonie de Paris et au Tchaikovsky Concert Hall sous la baguette de Thibault Noally et de ses Accents.
Julia Lezhneva est une artiste exclusive de Decca depuis 2011. Son premier disque – Alleluia, avec des motets baroques et en compagnie du Giardino Armonico dirigé par Giovanni Antonini – est publié en mars 2013 et remporte une récompense aux Echo-Klassik. Suivent les albums Händel (pièces sacrées et profanes illustrant l’ascension irrésistible du compositeur lors de ses années italiennes) et Graun Arias (constitué de premières mondiales avec des airs d’opéra (exhumés par Julia à la Staatsbibliothek de Berlin). Sa collaboration avec Max Emanuel Cencic dans Alessandro de Händel obtient le Prix de l’intégrale d’opéra de l’année au International Opera Award en 2013. Elle rejoint de nouveau Cencic pour l’enregistrement en première mondiale de Siroe de Hasse.
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