Management général
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Virginie GOUET virginie@concertsparisiens.fr +331 48 24 16 97 +336 64 85 09 00 |
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Emőke BARÁTH
Soprano
Après avoir remporté plusieurs concours prestigieux, Emőke Baráth s'est révélée au grand public dans le rôle de Sesto dans Giulio Cesare de Händel avec Alan Curtis. Peu après, elle a fait des débuts éblouissants au Festival d'Aix-en-Provence dans le rôle-titre d'Elena de Cavalli. Outre sa virtuosité évidente, le public a découvert un timbre corsé mais capable des nuances les plus diaphanes dans les aigus, et un chant d'une incarnation incomparable, porté par son amour des mots.
Fort de ces qualités, l'art d'Emőke Baráth s’exprime dans un vaste répertoire sous la direction des plus illustres chefs. Citons notamment L'Orfeo de Monteverdi (Iván Fischer et Emiliano Gonzalez Toro) ; Xerse de Cavalli (Emmanuelle Haïm) ; Hipermestra de Cavalli (William Christie) ; Alcina de Händel (Ottavio Dantone et Emmanuelle Haïm) ; La Création et Les Saisons de Haydn (György Vashegyi et Ádám Fischer) ; Le Nozze di Figaro de Mozart (Marc Minkowski). Pour le XXe siècle, elle a chanté le Stabat Mater et le Gloria de Poulenc (Bertrand de Billy), Saint François d'Assise de Messiaen (Opéra de Tokyo, Sylvain Cambreling) et Dialogues des Carmélites de Poulenc (Opéra de Rome, Michele Mariotti).
Les ensembles les plus renommés se disputent son talent – Il Pomo d'Oro, Accademia Bizantina, Europa Galante, Le Concert d'Astrée, Les Arts Florissants, Les Musiciens du Louvre, l'Akademie für Alte Musik Berlin, Il Giardino Armonico, l'Orchestra of the Age of Enlightenment –, ainsi que des orchestres symphoniques tels que les Orchestres Nationaux de France et de Lyon, le Concertgebouw d'Amsterdam, les Orchestres symphoniques de Detroit et de Washington, le Philharmonique de Bergen, l'Orchestre symphonique de Saõ Paulo et l'Orchestre symphonique Yomiuri au Japon.
La musique baroque occupe toujours une place centrale dans ses engagements des dernières années : outre une grande tournée en Asie avec Philippe Jaroussky et son ensemble Artaserse dans La Storia di Orfeo, citons Minerva et Amore dans Il Ritorno d'Ulisse in Patria de Monteverdi avec Emiliano Gonzalez Toro à travers l'Europe ; Armida dans Rinaldo de Händel avec Thibault Noally et Les Accents à Paris, Madrid et Barcelone.
Emőke s'est imposée comme une mozartienne accomplie : Ilia dans Idomeneo à l'Opéra de Budapest ; Sifare dans Mitridate à Copenhague et à l'Opéra de Göteborg avec Ádám Fischer ; Dorabella dans Così fan tutte avec Giovanini Antonini à Paris, Hambourg, Luxembourg et Bâle ; Donna Anna dans Don Giovanni à l'Opéra de Lille avec Emmanuelle Haïm ; Pamina dans La Flûte enchantée à l'Opéra de Rome avec Michele Spotti ; Aminta dans Il Re Pastore au Mozarteum de Salzbourg avec Christina Pluhar et au Festival de Salzbourg 2023 avec Ádám Fischer. Elle a fait forte impression dans le rôle redoutable d'Angelica dans Orlando Paladino de Haydn, sous la direction de Giovanni Antonini, à Madrid et à Barcelone.
La saison 2024/2025 a illustré son ouverture musicale : Cleopatra dans Giulio Cesare de Giacommelli à Innsbruck avec Ottavio Dantone ; Ginevra dans Ariodante à l'Opéra du Rhin avec Christopher Moulds ; Les Saisons de Haydn avec Ádám Fischer à Copenhague ; Dixit Dominus de Händel et Magnificat de Bach avec le Philharmonique de Los Angeles et Emmanuelle Haïm ; concert Mozart avec le Philharmonique de Monte-Carlo et Diego Ceretta ; rôle-titre de La Merope de Terraladas avec l'Akademie für Alte Musik Berlin et Francesco Corti en tournée européenne ; un récital au Wigmore Hall de Londres avec Jonathan Cohen et Arcangelo ; Gloria de Poulenc au Maggio Fiorentino avec Michele Mariotti ; rôle-titre d'Octavia de Keiser au Boston Early Music Festival, dans la mise en scène de Gilbert Blin.
2025/2026 confirme son entente musicale avec de grands chefs d'orchestre : Les Saisons de Haydn avec Ádám Fischer et l'Orchestre de chambre royal du Danemark à Malmö et Vienne ; la Symphonie n° 2 de Mahler avec le Real Orquesta Sinfónica à Séville ; le Stabat Mater de Pergolesi à Rome avec Michele Mariotti sous la direction de Romeo Castellucci ; une grande tournée dans la même œuvre avec Emmanuelle Haïm et Le Concert d'Astrée ; le Requiem de Mozart à deux reprises, d'abord avec l'Orchestre philharmonique de Monte-Carlo et Kazuki Yamada, puis avec Capella Cracoviensis et Christina Pluhar à Salzbourg.
Fort de ces qualités, l'art d'Emőke Baráth s’exprime dans un vaste répertoire sous la direction des plus illustres chefs. Citons notamment L'Orfeo de Monteverdi (Iván Fischer et Emiliano Gonzalez Toro) ; Xerse de Cavalli (Emmanuelle Haïm) ; Hipermestra de Cavalli (William Christie) ; Alcina de Händel (Ottavio Dantone et Emmanuelle Haïm) ; La Création et Les Saisons de Haydn (György Vashegyi et Ádám Fischer) ; Le Nozze di Figaro de Mozart (Marc Minkowski). Pour le XXe siècle, elle a chanté le Stabat Mater et le Gloria de Poulenc (Bertrand de Billy), Saint François d'Assise de Messiaen (Opéra de Tokyo, Sylvain Cambreling) et Dialogues des Carmélites de Poulenc (Opéra de Rome, Michele Mariotti).
Les ensembles les plus renommés se disputent son talent – Il Pomo d'Oro, Accademia Bizantina, Europa Galante, Le Concert d'Astrée, Les Arts Florissants, Les Musiciens du Louvre, l'Akademie für Alte Musik Berlin, Il Giardino Armonico, l'Orchestra of the Age of Enlightenment –, ainsi que des orchestres symphoniques tels que les Orchestres Nationaux de France et de Lyon, le Concertgebouw d'Amsterdam, les Orchestres symphoniques de Detroit et de Washington, le Philharmonique de Bergen, l'Orchestre symphonique de Saõ Paulo et l'Orchestre symphonique Yomiuri au Japon.
La musique baroque occupe toujours une place centrale dans ses engagements des dernières années : outre une grande tournée en Asie avec Philippe Jaroussky et son ensemble Artaserse dans La Storia di Orfeo, citons Minerva et Amore dans Il Ritorno d'Ulisse in Patria de Monteverdi avec Emiliano Gonzalez Toro à travers l'Europe ; Armida dans Rinaldo de Händel avec Thibault Noally et Les Accents à Paris, Madrid et Barcelone.
Emőke s'est imposée comme une mozartienne accomplie : Ilia dans Idomeneo à l'Opéra de Budapest ; Sifare dans Mitridate à Copenhague et à l'Opéra de Göteborg avec Ádám Fischer ; Dorabella dans Così fan tutte avec Giovanini Antonini à Paris, Hambourg, Luxembourg et Bâle ; Donna Anna dans Don Giovanni à l'Opéra de Lille avec Emmanuelle Haïm ; Pamina dans La Flûte enchantée à l'Opéra de Rome avec Michele Spotti ; Aminta dans Il Re Pastore au Mozarteum de Salzbourg avec Christina Pluhar et au Festival de Salzbourg 2023 avec Ádám Fischer. Elle a fait forte impression dans le rôle redoutable d'Angelica dans Orlando Paladino de Haydn, sous la direction de Giovanni Antonini, à Madrid et à Barcelone.
La saison 2024/2025 a illustré son ouverture musicale : Cleopatra dans Giulio Cesare de Giacommelli à Innsbruck avec Ottavio Dantone ; Ginevra dans Ariodante à l'Opéra du Rhin avec Christopher Moulds ; Les Saisons de Haydn avec Ádám Fischer à Copenhague ; Dixit Dominus de Händel et Magnificat de Bach avec le Philharmonique de Los Angeles et Emmanuelle Haïm ; concert Mozart avec le Philharmonique de Monte-Carlo et Diego Ceretta ; rôle-titre de La Merope de Terraladas avec l'Akademie für Alte Musik Berlin et Francesco Corti en tournée européenne ; un récital au Wigmore Hall de Londres avec Jonathan Cohen et Arcangelo ; Gloria de Poulenc au Maggio Fiorentino avec Michele Mariotti ; rôle-titre d'Octavia de Keiser au Boston Early Music Festival, dans la mise en scène de Gilbert Blin.
2025/2026 confirme son entente musicale avec de grands chefs d'orchestre : Les Saisons de Haydn avec Ádám Fischer et l'Orchestre de chambre royal du Danemark à Malmö et Vienne ; la Symphonie n° 2 de Mahler avec le Real Orquesta Sinfónica à Séville ; le Stabat Mater de Pergolesi à Rome avec Michele Mariotti sous la direction de Romeo Castellucci ; une grande tournée dans la même œuvre avec Emmanuelle Haïm et Le Concert d'Astrée ; le Requiem de Mozart à deux reprises, d'abord avec l'Orchestre philharmonique de Monte-Carlo et Kazuki Yamada, puis avec Capella Cracoviensis et Christina Pluhar à Salzbourg.
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